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12 novembre 2013 2 12 /11 /novembre /2013 22:50

Audierne.Cap-Sizun.

Actualité vue du Cap.

Novembre 2013

 

 

 

pic_1001.jpg

 

 

Références: Télégramme de Brest en date du :

 -a)- 26-10-2013: GAD. Place à la reconversion du site

-b)- 28-10-2013:  1675. La révolte des bonnets rouges

 -c)- 29-10-2013. Ecotaxe Comment sortir de la crise.

Triple peine pour la Basse Bretagne

Ras le bol d'une classe politique droite et gauche confondues 

-d)-  30-10-2013. Ecotaxe suspendue , pas  supprimée

J-F..Jacob (Sica): "Paris n'a rien compris" 

-e)- 31-10-2013.Ecotaxe.Le portique de Pont- de- Buis a vécu

 Crise en Bretagne. La CGT défilera à....Carhaix

Réaction des acteurs locaux

-e)- 1-11-2013. Jean-Yves le Drian."Il faut jouer collectif"

Agro alimentaire.Nouveau choc 

-f)- 4-11-2013. B.Poignant."La proposition après la protestation"

Ecotaxe. Un nouveau portique détruit

-g)- 5-11-2013. Bretagne. Un pacte pour rebondir

Tilly-Sabco."Le Foll, ici, tout de suite 

Pierre Maille. Ne pas se tromper de combat 

-h)- 6-11-2013. Ecotaxe.La polémique redouble

Marine Harvest. Les salariés maintiennent le blocus

Crise.Pourquoi les évêques donnent de la voix 

-i)- 7-11-2013. Christian Troadec. La charge du bulldozer

Pacte d'avenir.Pas simple à bâtir

Marine Harvest. Le blocus se poursuit dans la confusion

Filière avicole . Tilly-Sabco entraîne Nutrea dans sa chûte

Ecotaxe: retour à la fermeté

Plus de 2,5 M€ perdus ...chaque jour

-j)- 8-11-2013 . Placé. "L'ecotaxe est une bonne idée"

-k)- 9-11-2013Radars fixes: l'hécatombe 

 

 

******* 

 

 

 

 

La Bretagne défraie la chronique et fait la une de tous les quotidiens avec les problèmes de l'agro alimentaire et l'écotaxe. Il suffit de regarder les références ci-dessus se rapportant à  un seul journal  local pour s'en assurer. La violence est redevenue un mode d'expression et on se réfère à notre histoire et en particulier aux évènements de Plogoff pour tenter de trouver une explication, à travers le tempérament breton, notre situation péninsulaire, notre éloignement des grands axes etc... Tous ces arguments  nous sont familiers ici, au bout du monde, en Cap-Sizun, où nous avons tout le loisir nécessaire pour réfléchir puisqu'il ne s'y passe pas grand chose. Certes, la Bretagne traverse une crise, et ce à la veille des élections municipales.  Nous allons tenter malgré tout, d'analyser les faits, vision aussi  impartiale que possible  en raison de notre situation particulière au  bout du monde: le Cap-Sizun .

 

Lien:

 

     Ma Bro ar C'hap Gwechall suite 17  

 

Le lien ci-dessus permet d'accéder à la lecture de ce qui a déjà été publié sur le blog konchennou en 2007, concernant l'histoire de Plogoff. Les enseignements à retenir de cette analyse et son exposé n'ont pas évolués et on peut même dire que la situation économique locale s'est aggravée, particulièrement dans le domaine  qui nous concerne tous en Cap-Sizun: le tourisme. De nombreux commerces ferment les uns après les autres. L'immobilier stagne complètement et les maisons ne se vendent plus. La démographie est en baisse. Bref, les paramètres sont plutôt négatifs

 Il y a certes d'autres activités à l'année comme la pêche ou l'agriculture, mais le tourisme qui appartient au secteur tertiaire est un des domaines majeurs essentiels et  indispensables à notre vie économique pour le peu que nous en ayons une . Le Cap se caractérise en effet par l'absence d'industries depuis la disparition des conserveries qui n'ont pas été remplacées. Il n'y a donc pas de portique écotaxe dans le Cap-Sizun et on se demande bien à quoi il servirait s'il existait (Pas de radar non plus). Sans vouloir préjuger de l'avenir de ces portiques dont le nombre en France avoisine 200 (dont plusieurs auraient déjà été détruits ainsi que  de nombreux radars, chiffre évolutif quotidiennement), ce qui représente une certaine  perte d'investissement, nous prenons tout de même acte de la mesure suspensive de la mise en service suite aux derniers évènements  dûs à la révolte des  

 

"Bonnets rouges" (cf: référence b) 

 

que l'on compare à Plogoff. Il y a sans doute des points communs mais dans le fond c'est différent car on ne peut comparer la révolte de pratiquement 

 

toute une population locale

 

contre un projet de centrale nucléaire à Plogoff, à la révolte de

 

toute une catégorie de sociaux professionnels 

 

répartis sur l'ensemble du territoire breton et dont la contagion est en train de s'étendre à tout  l'hexagone.

 

A Plogoff, les manifestants ne se battaient pas pour l'emploi contre le chômage ou les taxes, mais pour la défense de l'intégrité de leur territoire et son environnement exceptionnel menacé par la construction d'une centrale à proximité immédiate de la Pointe du Raz. La population de Plogoff aurait pu être consultée par

 un référendum d'initiative locale.

Cela ne s'est pas fait.

 Répétons que depuis la disparition des conserveries il n'y a pratiquement plus d'employeurs en Cap-Sizun. Le plus grand employeur est sans doute la communauté de communes par l'intermédiaire des maisons de retraite (EHPAD), donc du secteur tertiaire. Tout le monde sait aussi que si la politique gouvernementale est orientée vers la diminution du nombre de fonctionnaires , la fonction territoriale a embauché à tour de bras. Quoi qu'il en soit, le Cap-Sizun est condamné depuis longtemps  à exporter sa main d'oeuvre puisqu'il n'y a pas d'emplois sur place. Cela ne date pas d'aujourd'hui mais depuis le début du XXème siècle. N'oublions pas non plus ceux qui sont affectés en Cap-Sizun et résident sur place (exemple: enseignement, gendarmerie etc..) dont les épouses sont condamnées à être femme au foyer ou inscrites à pôle emploi quelle que soit leur formation   et références professionnelles. Ceux qui ont choisi de vivre ici  dans leur pays natal sans s'expatrier sont  totalement dépendants du tourisme pour lequel nous ne manquons pas d'arguments grâce en particulier à nos paysages.

Or, si on admet que nos paysages sont un des éléments essentiels conditionnant le tourisme, nos responsables locaux devraient  en conséquence veiller à ne pas les défigurer par ce que nous rencontrons couramment par exemple à Audierne qui détient le "pompon" en la matière. Et faute de s'occuper à trouver des remèdes, on en rajoute une couche, ce qui est insensé et irresponsable.

 

 

     

   

 Certaines municipalités et plus particulièrement Audierne sont donc en partie responsables de la situation que nous connaissons localement et à propos de laquelle on ne prend aucune mesure , aucune initiative pour y remédier, sans compter les mauvaises initiatives (circulation). 

 

 

pic_0043.jpg 

 Le gouvernement, pas plus que le pouvoir régional n'est en rien responsable de l'immobilisme audiernais bien que Audierne soit pratiquement un point de passage obligé sur l'itinéraire Quimper-Pointe du Raz.. Nous devons tout d'abord balayer devant notre porte avant de chercher des responsabilités ailleurs alors qu'elles sont chez nous, entre les  mains de ceux que nous rétribuons par le biais de nos impôts locaux après les avoir élus, et pour rien. On verra bien ce que donneront les prochaines élections municipales à ce sujet. 

Géographiquement, le Cap-Sizun n'est donc pas concerné par la révolte des

Bonnets rouges 

  appellation empruntée à l'histoire de  nos voisins bigoudens,  en 1675, sous Louis XIV. Cette histoire était elle aussi une rébellion antifiscale qui fit l'objet d'une répression dont plusieurs clochers décapités gardent encore la trace. Bonnet Rouge est donc avant tout un symbole de révolte et contestation. En 1675, les tracteurs agricoles n'existaient pas et le monde rural utilisait les outils à main  comme la fourche et la faux pour défendre ses idées. (Cela s'est reproduit  en Cap-Sizun au début du XXème siècle lors des inventaires associés  à la séparation de l'Eglise et de l'Etat).  

Les problèmes de circulation taxée ou non ne se posaient pas à l'époque des charrettes et des voitures à bras. Aujourd'hui, un convoi de tracteurs a vite fait de barrer un itinéraire, paralysant la circulation, incendiant les biens publics ou défonçant une porte de sous préfecture comme à Morlaix. Madame la Ministre Marylise Lebranchu a dû apprécier . Mais  rien de comparable avec Plogoff où les mairies annexe furent les seuls objectifs menacés par les manifestants. Quant au comportement des forces de l'ordre, nous avons déjà écrit que

 

"l'irréparable n'a jamais été accompli"

 

ce qui signifie qu'il n'y a pas eu de morts ni de blessés graves parce que les armes à feu n'ont jamais été utilisées. Vrai pour les deux camps qui s'affrontaient ce qui prouve la qualité des encadrements !! Et pourtant,  il aurait suffi d'un "alcoolisé" armé d'un fusil de chasse pour déclencher les hostilités  et la légitime défense. 

 

La comparaison n'est donc pas trop justifiée compte tenu des différences de milieu, de terrain, et de moyens mis en oeuvre. Un point commun tout de même : les difficultés économiques du Cap-Sizun, rejoignent celles de la Bretagne pour ce qui concerne la péninsularité, l'enclavement et l'éloignement des centres commerciaux. Il faut compter une heure de trajet pour aller de Plogoff à Quimper, à condition de ne pas être victime d'un incident de parcours (embouteillage, accident etc....).

 

 Et dans ce domaine, le désenclavement du Cap-Sizun est une arlésienne.

 

A ce sujet, quel a été le bilan de la conseillère générale socialiste, donc membre de la majorité départementale durant son mandat au département ?? Attendons la suite avec un conseiller d'opposition !!!   

 

Il nous a fallu attendre 20 ans pour avoir une piscine. L'ancienne clinique d'Audierne est en l'état depuis 40 ans. L'école de pêche prend le même chemin. La maison de retraite (comme le port de plaisance) d'Audierne  a été construite au "forceps" par une courageuse municipalité sauvagement combattue par une équipe droitière dirigée par un "futur" maire : Monsieur Coatmeur.  Aujourd'hui, la voierie audiernaise est

dans un état lamentable et nous n'avons pas connaissance de l'existence d'un quelconque plan de réfection. Nos élus audiernais sont heureux de percevoir des indemnités à la fin du mois ce qui est pour eux l'essentiel. Le reste ...

 

on verra bien et pour l'instant "coucouche panier, papattes en rond"  !!!!

2 heures de permanence par semaine et ......Mad an traou !!! 

 

Le Cap-Sizun n'est politiquement reconnu que en période électorale. Tout le monde vient se faire photographier devant le tas de sable de Poulgoazec au moment des élections et après, rien ne bouge. C'est l'immobilisme . Pour ce qui concerne  Audierne, il faut bien constater que depuis 20 ans, les municipalités de droite n'ont pas fait mieux que les municipalités de gauche. Or, que va t'on nous proposer pour 2014 ?? Sans doute une équipe de gauche constituée à la base par les sortants de l'équipe Donval face à une équipe dite sans étiquette constituée par les anciens de l'équipe Coatmeur. Compte tenu des modalités de la nouvelle loi électorale, on peut imaginer que les grands vainqueurs     seront  l'abstention et les bulletins blancs ou nuls. N'oublions pas l'influence des évènements internationaux, nationaux et locaux qui "bénéficieront" de  l'impopularité du pouvoir central, et la messe sera dite. Il faudrait pourtant que les Audiernais tout comme les Capistes se prennent en main pour mettre en place des dirigeants aptes à faire évoluer les choses de façon positive et non à la "sauce  syndicale" que l'on connaît à Audierne depuis 2008. Des jeunes aussi car ils sont plus concernés que les Anciens qui ont fait leur temps. 

 

L'assainissement politique [cf référence c) ] 

 

dont tout le monde reconnait aujourd'hui la nécessité ne pourra venir que de la base puisque le sommet est occupé par les énarques que l'on trouve à tous les niveaux et qui ne sont pas toujours des hommes de terrain. On peut créer la parité, redécouper les cantons, changer le seuil des municipales, tout cela n'aboutit qu'à une politisation des élections de base ce qui est le contraire du médicament nécessaire. Tant qu'il n'y aura pas à la base dans les petites communes , donc aux municipales des listes ouvertes et apolitiques permettant à ceux qui souhaiteraient participer de s'engager sans être encartés, on tournera en rond et dans le cas d'Audierne, les audiernais ne pourront pas se plaindre puisque en 1995 ils n'ont pas saisi l'occasion qui leur était offerte, à savoir une liste ouverte déposée en mairie. On risque donc de continuer en gardant nos rues sales, nos quartiers oubliés et déshérités, nos déchets verts non ramassés et notre Mât Fenoux en l'état.

 

Il faut tout de même signaler que, selon les résultats des municipales (après les évènements du moment) on peut imaginer des changements au gouvernement, ce que l'on appelle un remaniement. Dans ce cas, et si les résultats de ces municipales étaient défavorables pour le pouvoir en place, les responsables de la nouvelle loi électorale pourraient voir leurs remplaçants se présenter à leur ministère. Tout le monde sait que les fauteuils ministériels sont des sièges éjectables. 

 

Localement, une chose est certaine: le prochain maire d'Audierne ne sera pas Madame Donval. Celle-ci laissera derrière elle une situation déplorable dans plusieurs domaines: la voierie nous l'avons déjà dit, l'environnement, l'organisation du personnel  municipal, la circulation, le stationnement etc.... Bref, tout ce qui n'a pas été fait et tout ce qui sera à refaire. Cette situation qui est la conséquence de 6 années perdues pour Audierne où l'argent public aura été dépensé sans idée directrice. Pendant ce temps  Plouhinec commune voisine a obtenu le pavillon bleu et  le Grand site de la Pointe du Raz a été étendu à la partie nord du Cap, donc sans la côte sud. Or, la côte sud c'est Audierne, Esquibien, Primelin et la plus grande commune du Cap: Plouhinec. Répétons qu'il est nécessaire de commencer par le commencement. A ce sujet, les élections municipales déboucheront partout sur la nomination d'une nouvelle équipe qui sera en fonction pour les 6 années à venir.  Une bonne équipe obtiendra les meilleurs résultats si elle est apolitique et unie pour et par le but essentiel: la défense de l'intérêt général et non la politique pour faire carrière comme certains arrivistes. 

 

******

 

 Tout cela peut paraître éloigné de l'écotaxe. Non, parce que tout se tient.Reportons nous aux articles de presse dans lesquels on peut lire:

Référence a) Le 26-10-2013:

"Pourquoi avez-vous attendu six mois pour venir nous voir . Aujourd'hui c'est trop tard.Si vous ne faites rien, vous pouvez présenter votre démission car c'est la mort de la Bretagne".

Propos tenus par les manifestants de chez GAD s'adressant à Madame la Ministre Marylise Lebranchu .

 Référence b): 29-10-2013

Vent de fronde. Ras le bol fiscal

Référence c): 30-10-2013 

Ras le bol d'une classe politique droite et gauche confondues

Quel coût pour l'état

Référence e): 31-10-2013

Ecotaxe. Le portique de Pont-de-Buis a vécu

Réaction des acteurs locaux

Référence f): 4-11-2013 

Bernard Poignant: Il faut faire évoluer le système

Référence g): 5-11-2013 

 Pierre Maille ne mâche pas ses mots

Ne pas se tromper de combat Tilly-Sabco.

Le Foll, ici, tout de suite

Réference h): 6-11-2013

Si le contrôle n'est plus fait par les portiques, il pourra être fait par la gendarmerie ....

Référence i): 7-11-2013

 Christian Troadec: La charge du bulldozer

Pacte d'avenir. Pas simple à bâtir

 Référence j): 8-11-2013

Placé. "L'écotaxe est une bonne idée "

 Référence k): 9-11-2013

Radars fixes: l'hécatombe

Nuit rouge en Bretagne

 

*******

L'affaire n'étant pas actuellement règlée, il est vraisemblable que nous pourrions continuer en attendant  d'autres références dans l'actualité à venir relatée par la presse. Mais, quels  que soient les évènements du futur, d'ores et déjà quelques conclusions s'imposent. Il est évident que si l'écotaxe est maintenue, il faudra reconstruire les portiques détruits, aux frais du contribuable et la facture risque d'être salée. Les radars mis hors d'usage seront à remplacer dans les mêmes conditions. En résumé, ce qui est fait n'est plus à faire. Mais écrire aussi que :

si le contrôle n'est plus fait par les portiques, il pourra être fait par la gendarmerie mérite une réflexion d'ordre plus général: En effet, toujours selon le quotidien cité en référence: Télégramme de Brest , on a pu lire dans le numéro en date du 28-10-2013, ce qui suit:

 

Budget. Les gendarmes tirent le diable par la queue. Logement, essence,renouvellement des véhicules, les gendarmes ont beaucoup de mal à boucler leur budget et tirent la sonnette d'alarme....

 

suite dans le quotidien du 1-11-2013:

 

police-gendarmerie. 111 million d'euros débloqués 

 

Les gendarmes qui sont des militaires ne disposent pas de syndicats comme la police pour faire connaître leurs problèmes. Les militaires par définition appartiennent à la "grande muette" et ne sont pas autorisés à s'exprimer . Pour ce qui concerne l'Armée de terre, certaines associations comme la Saint-Cyrienne se chargent de diffuser les informations concernant la profession. Le blog Konchennou reproduit parfois certains articles de cette association.

Les gendarmes se débrouillent autrement. Ils sont soumis aux obligations de réserve mais cela ne concerne pas les épouses. Celles-ci peuvent donc s'exprimer et dire ce qu'elles pensent  par exemple sur internet, et certaines savent faire passer les messages tout comme les associations de retraités. On peut leur faire confiance et consulter à ce sujet le site "Femmes de gendarmes".

 

Constatons tout de même que à force de donner des missions nouvelles aux gendarmes il conviendra aussi de leur donner les moyens matériels et humains pour les remplir. Quand on ne sait plus quoi faire comme cela s'est produit à Marseille, on suggère l'intervention de l'Armée ce qui est complètement hors sujet, d'autant que la réduction des effectifs est en cours et que les missions de la police et de l'armée sont différentes. Les moyens aussi. Que viendrait  faire à Marseille une unité blindée avec ses chars ?? Chacun est libre de donner sa réponse !! 

 

Toujours est-il que:

 

Tout ce qui est détruit par des contestataires pendant ou en dehors des manifestations, sera à reconstruire.  Comment ?? Par les pouvoirs publics aux frais des contribuables.

 

Il est donc peut-être temps d'arrêter la casse.

 

Tout le monde sait qu'une guerre se termine toujours par un armistice suivi d'un traité de paix parce qu'il n'y a pas d'autre solution. 

 

Un dernier mot au sujet des cérémonies du 11 novembre à Paris qui ont été perturbées par des agitateurs. Ce comportement n'est pas admissible . Le Président de la République est légitimement élu et de par sa fonction il est chef des Armées. A ce titre il a droit au respect des citoyens et c'est un devoir de le respecter. Le non respect de ce principe de base ne mérite que condamnation par l'opinion publique et sanction par les institutions légales de la République. Insulter le Président de la République c'est insulter le drapeau français et la Marseillaise. On a bonne mine sur le plan international !!  On peut faire de la politique et contester certains choix, tout en respectant les règles élémentaires de la courtoisie, ce qui exclue les hurlements et les vociférations . 

 

Les cérémonies  du 11 novembre ne sont  pas une manifestation  politique mais une journée de commémoration et du souvenir.

 

Et les Capistes ont chèrement payé leur participation à ce conflit  mondial. Les monuments en témoignent. Respectons les et condamnons sans appel très  sévèrement les trublions et autres agitateurs qui n'ont rien à proposer pour expliquer et  justifier leur comportement.

 

   PIC_0213.jpg  

 

 

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